Publié dans Sport

Infrastructure sportive - L’Egypte veut aider Madagascar

Publié le jeudi, 12 septembre 2024

L'Egypte est prête à soutenir Madagascar dans ses initiatives sportives et à partager son expérience. Partenaire de longue date de Madagascar dans divers domaines, une coopération avec l’Egypte s’étend désormais au secteur sportif. « Nous sommes prêts à offrir notre expertise dans la construction d’infrastructures sportives et l’accompagnement des jeunes », a déclaré Rabab Said Abdou Abdelhadi, ambassadrice d’Egypte à Madagascar lors de sa visite de courtoisie au ministère de la Jeunesse et des Sports à Ambohijatovo.

« Nous devons exploiter cette richesse pour développer nos pays. Le sport, en particulier, est un facteur essentiel pour l’unité et la stabilité des nations », a-t-elle affirmé, ajoutant que plusieurs projets sportifs ont été discutés lors de la rencontre.
« Le ministre connaît bien les infrastructures sportives en Egypte. Nous sommes heureux de collaborer et de partager nos connaissances, non seulement dans le sport, mais aussi dans le renforcement des capacités des jeunes », renchérit Rabab Said Abdou Abdelhadi après son entretien avec Abdulah Marson Moustapha, ministre de la Jeunesse et des Sports.
« L’ambassade souhaite renforcer cette relation avec le ministère malagasy en matière de rénovation d’infrastructures, comme le stade Barea, et de formations pour les jeunes en Egypte. Une séance de travail est prévue entre le ministère et l’ambassade pour aboutir à un mémorandum d’entente », a indiqué le ministre Abdulah Marson Moustapha.
E.F.

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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